Grande voix de la musique ivoirienne, la star Josey Priscille vient de frapper fort en touchant le cœur de ses mélomanes. Son nouveau tube ‘’SOS’’ qui s’inscrit contre les violences faites aux femmes, est bien accueilli.

La Star ivoirienne, Josey vient de mettre sur le marché du disque, son tube ‘’SOS’’ qui, à peine sorti, est bien accueilli par les mélomanes par son engagement dans le cadre de la lutte contre les violences basées sur le genre.

« Qui va m’aider, Physiquement, je suis touché, mentalement, je suis touché. Plus jamais », ces paroles, tirées du tout dernier titre de Josey intitulé ‘’ SOS’’ sont perçus comme un cri d’alarme pour des victimes, souvent muettes. A travers cette chanson, Josey Priscille a su toucher leur cœur et délier leur langue. Dans le clip, elle présente la situation d’une femme qui est victime d’abus de la part de son époux.

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Avec des couleurs dominantes comme le rouge, le noir, la chanteuse entend désormais tirer la sonnette d’alarme pour monter l’urgence. Dans ce tableau sombre où, les victimes sont de plus en plus nombreuses, Josey, tel le messie, fait apparaître une lumière apparente, qui sans doute doit être vue par les femmes comme de l’espoir, le bout du tunnel et qu’elle (Josey) se tient désormais à leurs côtés pour mener cette lutte.

« Les commentaires m’ont émue jusqu’aux larmes. Regardez à quel point beaucoup de femmes souffrent en silence de ce phénomène. En écrivant cette chanson, je ne réalisais pas toucher un point aussi sensible. Que DIEU vous fortifie et vous aide à sortir de ces souffrances. Famille, Merci de pousser ce message aussi loin que possible pour qu’il soit vu, entendu et surtout pris à cœur, car bon nombre de femmes souffrent en silence », a écrit Josey sur sa page facebook.

C’est osé et révélateur dans un pays où, 5 360 cas de VBG sont pris en charge de janvier 2023 à septembre 2023. La situation des VBG en Côte d’Ivoire et comme dans d’autres pays en Afrique, est une réalité tangible qui reste encore préoccupante. Mais la réalité est que les victimes restent toujours silencieuses et tapis dans l’ombre.